La musique du pianiste vénézuélienne Silvano Monasterios est si facile sur l’oreille, si élégamment structurée, et a une tel légèreté vécue dans le sentiment qu’il prend un peu pour réaliser le vrai degré de sophistication de son travail.
Après un certain temps, on remarque les éléments harmoniques, le solo du storytelling, ou son vocabulaire rythmique, surtout l’utilisation discrète des styles traditionnels vénézuéliens.
Partiellement ensoleillé est le deuxième album de Monasterios chez Savant, et ses choix suggèrent qu’il ne ressent aucune nécessité de tenir compte aux attentes conventionnelles sur la façon dont le latin jazz doit sonner. Quoi que quelqu’un puisse prétendre d’être une essence du jazz latin, il l’a intégré dans son joyau. Avec son trio, le grand clarinettiste Anat Cohen, le saxman Troy Roberts et la percussion colorée de Robert Quintero, Monasterios nous présente un album qui est exubérant et viscéral ainsi que personnel et considéré.
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